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Les Français et les actions : ce qu'il ne faut pas faire (rédigé le 28/10/2014)

L’année dernière, le patrimoine financier des ménages a progressé de 9,9 % pour s’établir à environ 118 000 Mds $. En termes de zones géographiques, les Etats-Unis ont fait la course en tête avec une hausse de 11,7 %, devant le Japon avec une hausse de 6,1 % et l’Europe de l’Ouest. En réalité, la croissance du patrimoine financier a été la plus forte là où l’exposition en actions est en général la plus élevée. Si l’on analyse le montant moyen des patrimoines par pays, il apparaît que les Suisses devancent les Américains, les Belges et les Britanniques. Là encore, l’intérêt pour les marchés boursiers et la prise de risque sont récompensés.

 

Et les Français ? Ils n’apparaissent plus qu’en 15ème position. En moins de quinze ans, ils ont perdu six places. Les épargnants hexagonaux paient ainsi lourdement leur frilosité. Non seulement, la peur les incite à éviter les actions, mais quand ils s’y intéressent, beaucoup se contentent d’acheter (souvent au plus haut) des OPCVM émis par leurs banques. Dès lors, ils sous-performent les indices boursiers dans 90 % des cas, enrichissent leur établissement (les frais sont exorbitants) et sont, par obligation, statiques et donc incapables de mettre à profit la volatilité. Sans surprise, ceux qui se risquent à investir de la sorte sont souvent déçus et refusent d’aller plus loin. A tort.

 

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